Bruxelles devient Le cadre d’un nombre record de fusillades
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Dès le début de l’année 2025 (5 février), Bruxelles qui était déjà le cadre d’un
nombre croissant de fusillades en 2024, voit le nombre d’incidents augmenter de
façon exponentielle.
Une première vague de quatre fusillades entre le 5 et le 7 février ayant majoritairement lieu dans les communes de
Saint-Josse ten Noode et Anderlecht qui est la plus touchée avec 26 fusillades
rien que pour le mois de février contre Trois dans le centre-ville.
Les quartiers les plus touchés sont le Peterbos et Clémenceau
Un premier décès est confirmé le 7 février alors que trois évènements précédents
n’avaient causé que des blessures mineures ou aucun blessé.
La seconde vague a lieu la nuit du 15 au 16 février aux abord de Clémenceau et
sera cette fois mortelle
L’enquête confiée à la police fédérale démontrera rapidement que ces évènements sont en
lien étroit avec le trafic de stupéfiants
On comptera encore des vagues de fusillades dans d’autres communes comme Forest en
mars
Fin avril, à Anderlecht, un homme de 19 ans est blessé à la cuisse suite à une
fusillade nocturne. Ce fut l’un des blessé des 11 fusillades qui ont fait 2
morts et 4 blessés jusqu’alors
La plupart de ces fusillades sont liées aux règlements de comptes entre gang de
trafiquants notamment dans les quartiers d’Anderlecht Aumale, Peterbos et
Clémenceau
En février 2025, le bourgmestre de bruxelles a convoqué les bourgmestres des
communes concernées pour instaurer une « unité de commandement
policière », fusionnant les 6 zones de police en une seule pour améliorer
la communication en réponses aux violences
Les autorités ont également instauré une politique de tolérance zéro vis-à-vis de
la criminalité liée aux stupéfiants, avec un renforcement des techniques d’investigation et de la présence sur le terrain.